Développer un service grâce à une machine automatisée

L’avènement d’Internet et du e-commerce ont nettement accéléré le besoin de récupérer des commandes 24/24h et 7/7j.  Dans le même temps, les personnes sont de moins en moins enclines à travailler en horaires décalées rendant difficilement compatibles l’offre et la demande. La technologie est là pour répondre à ce genre de besoins : tâches pénibles pour les humains et pourtant souhaité par les consommateurs.

Mettre à disposition sa propre production

Artisans ou producteurs, on ne peut pas forcément toujours “être au four et au moulin”. L’automatisation sert alors à ce que le chef d’entreprise puisse déléguer la partie vente et continue à se concentrer sur son coeur de métier. Le fait de choisir une solution de distribution automatisée comporte moins de contraintes que d’ouvrir un point de vente où la réglementation est particulièrement pointue. De plus, l’investissement financier est nettement inférieur comparé à l’aménagement et les charges qu’un local représentent.

Permettre des échanges, prêts ou locations

Réutilisation d’objets de seconde main, prêts entre particuliers ou locations saisonnières, les concepts de partage et d’anti-gaspi se démocratisent. Encore faut-il être disponible pour échanger ses articles, réceptionner des objets volumineux ou encore récupérer les clés de la maison de vacances en station ou en appart’hôtel. A nouveau, la distribution automatique en casier représente un nouveau vecteur d’intensification d’activités économiques.

Implanter un point de retrait 

Les personnes vivant dans les villes n’ont aucun problème à trouver des points-relais pour retirer leurs commandes. Cependant, les habitants de zones rurales n’ont pas toujours La Poste ni un quelconque commerce pour se faire livrer. La recherche de points de retrait est alors tout de suite plus compliquée. L’implantation d’un automate dans lequel on peut y déposer des colis, des médicaments ou tout autre article constitue une alternative au manque de commerces à la campagne. De véritables réseaux quadrillant les territoires excentrés seraient alors vecteurs d’égalité de service au regard des différentes zones géographiques délaissées.